Il y avait bien sûr un élément de relations publiques impliqué. James, Kovac l’a laissé entendre il ya quelques semaines, est l’un de ces joueurs qui prend très au sérieux les critiques et qui a besoin de ressentir l’amour de ses supérieurs et de ses collègues pour vraiment briller. Mais si le jeune homme de 47 ans avait pour but de calmer un ego meurtri avec des paroles chaleureuses en public, le fait que tout cela soit vrai l’aidait énormément, sans aucune exagération ni embellissement.
James, avec le maître des passes rappelé Thiago devant la défense, avait effectivement veillé à ce que le ballon redevienne un ami de cette équipe du Bayern. Hertha, épuisé par 120 minutes de poursuite des ombres, finit par s’effondrer.
Le manager n’a eu qu’un problème à complimenter le milieu de terrain du Real Madrid alors qu’il était en prêt. Il a peut-être commencé à en prendre conscience en affirmant que ses joueurs centraux avaient souvent « tout bousillé la balle » dans des situations sous pression. dans les jeux précédents. Cela soulevait la question évidente: pourquoi n’avait-il pas pensé plus tôt à mettre « plus de qualité » sur le terrain? De la manière dont il parlait de l’influence apaisante de James sur une équipe incapable de jouer son jeu de passe sans lui, il semblait presque qu’il n’ait rien eu à faire avec le choix de l’équipe avant mercredi.
Peut-être que, de l’avis de Kovac, le peu d’implication de James ne lui était pas vraiment imputable. Physiquement, le joueur n’était pas au mieux de sa forme au début de la saison après s’être blessé à mi-parcours de la Coupe du monde. Lorsque l’entraîneur du Bayern a commencé à faire tourner ses hommes pour que tout le monde soit heureux, James l’a mal pris, et Kovac n’avait peut-être pas les compétences particulières en gestion des hommes qui permettaient à son prédécesseur, le saint Jupp Heynckes, de convaincre tout le monde. temps.